Après des débuts tonitruants à la Philharmonie en 2017, Benjamin Clementine sera de retour sur la scène du Grand Auditorium le 29.09.
Absent des scènes et du disque depuis cinq ans mais ayant fait une apparition remarquée au cinéma entretemps, il revient porter en étendard «sa voix toujours aussi étonnante, un ténor élastique capable de choquer, d’étonner et de réconforter» (The Guardian). Élégant dans tous les sens du terme, celui dont les modèles absolus sont Léo Ferré, Nina Simone ou encore Erik Satie ne parvient toujours pas à se revendiquer comme un musicien professionnel. Laissons alors ses oeuvres et son succès parler pour lui qui est à la fois charismatique et modeste, intemporel et profondément actuel, douloureusement mélancolique et lumineux. Le jeune homme qui chantait dans le métro parisien est désormais la destination finale d’un public fidèle au rendez-vous.ENGLISH VERSION
After his celebrated 2017 debut at the Philharmonie, Benjamin Clementine is back on stage at the Grand Auditorium on 29.09. Having foregone live or recorded performances for five years but taken his first steps in Hollywood in the meantime, he returns to delight us once more with his «still-startling voice, an elastic tenor capable of shock and awe as well as succour» (The Guardian). The artist, whose role models include Léo Ferré, Nina Simone and Erik Satie, is an elegant performer, but still resists calling himself a professional musician. We will let his music speak for him: charismatic and humble, timeless and yet also incredibly timely. The young man who used to busk in the Paris subway for rushed passers-by has now become a destination in and of himself.